Les bĂ©bĂ©s ne sont pas des sardines, pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne » : plusieurs rassemblements des personnels de crĂšches avaient lieu en France ce mardi 30 mars pour dĂ©noncer la rĂ©forme des modes de garde, ont constatĂ© des journalistes de l’AFP. Lille, Rennes, Le Mans, Toulouse, Pau, Perpignan, Marseille, Ajaccio, Lyon, Paris L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants Ă  la crĂšche sont primordiaux ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne !Ni bĂ©bĂ©s ni parents Ă  la consigne ! L’accueil et l’écoute, par les professionnelles de la petite enfance, des parents qui leur confient quotidiennement leurs enfants sont primordiaux. Dans les lieux d’accueil de la petite enfance, la qualitĂ© de la rencontre avec les familles constitue un enjeu essentiel pour offrir aux tout-petits une premiĂšre entrĂ©e en sociĂ©tĂ© qui respecte leur rythme et leur vulnĂ©rabilitĂ©. Cette recherche coopĂ©rative montre qu’ĂȘtre Ă  l’écoute des parents, de leurs histoires, leurs Ă©motions et leurs conceptions Ă©ducatives singuliĂšres nĂ©cessite un vrai travail d’élaboration dans les institutions de la petite enfance, ce qui requiert du temps et des conditions favorisantes. À partir de situations de la vie quotidienne en crĂšche, les analysent comment se construisent ces savoirs professionnels subtils. Ils mettent en Ă©vidence le paradoxe entre le manque de reconnaissance des professions de l’éducation et du soin dans notre sociĂ©tĂ© et l’importance qu’elles revĂȘtent pour la santĂ© des plus vulnĂ©rables, des nourrissons aux personnes ĂągĂ©es. Lecollectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne est informĂ© que des professionnel·les de la petite enfance envisagent de rejoindre des journĂ©es d’action comme celles Mars et mai 2019, janvier 2020, fĂ©vrier 2021 par milliers, les de la petite enfance sont dans la rue pour s’opposer Ă  la rĂ©forme des modes d’accueil. Mais le gouvernement n’a pas encore bien entendu notre protestation ! Nous refusons le calcul du taux d’encadrement qui conduirait à six bébés par professionnel, la prise en compte des apprentis dans ce taux, le ratio de 40/60 calculé en moyenne annuelle ». Nous refusons l’accueil en surnombre à 115 % tous les jours, huit heures par jour. Nous refusons 5,5 mĂštre carrĂ© seulement par enfant en zone dense. Nous refusons des directions sans expérience professionnelle pour jusqu’à quarante places en crèche. Nous refusons une demie heure seulement par mois d’analyse de pratique en crèche et rien de garanti pour les assistants maternels. Nous exigeons un taux d’encadrement d’un professionnel pour cinq enfants quel que soit l’âge et au moins 50% de professionnels les plus qualifiés en crèche. Nous exigeons une limite à 110 % avec une moyenne hebdomadaire de 100% des inscrits. Nous exigeons 7 mĂštres carrĂ© minimum par enfant garantis sur tout le territoire. Nous exigeons une expérience professionnelle pour diriger toute crèche. Nous exigeons de véritables temps utiles d’analyse de pratiques pour tous les professionnels des modes d’accueil. Nous exigeons aussi le maintien des micro‐crèches à dix enfants, l’élévation globale des niveaux de qualification des professionnels de l’accueil individuel et collectif par la formation initiale et la formation continue diplômante, l’alignement du coût restant aux familles sur la base du quotient familial quel que soit le mode d’accueil. Pour ne pas grever l’avenir des bébés, nous appelons à la grĂšve le 30 mars 2021 dans tous les modes d’accueil. » – DĂ©couvrez sur la carte ci-dessous l’ensemble des manifestations prĂ©vues partout en France. À Paris, le dĂ©part est prĂ©vu Place Denfert-Rochereau Ă  10h. Voir en plein Ă©cran – Plus d’informations sur le site et via l’évĂ©nement facebook CrĂ©dit photo Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne
Pasde bébés à la consigne : mise au point avant l'été Dans son tract de l'été dévoilé hier soir, Pas de bébés à la consigne annonce sa mobilisation à venir auprÚs des nouveaux élus. Gouvernement et groupes parlementaires vont devoir rendre des comptes ! Cela faisait un moment que le collectif n'avait plus donné de la voix
Une des listes aux municipales de Saint Gratien dĂ©clare vouloir favoriser l’installation de structures d’accueil privĂ©es » sur la commune. Si nous proposons d’augmenter le nombre de places en crĂšche pour rĂ©pondre aux nombreuses demandes non satisfaites Ă  Saint Gratien, il est Ă©vident pour nous que ces structures doivent ĂȘtre publiques c’est la garantie d’un accueil de qualitĂ© pour les enfants, et de conditions de travail correctes pour le personnel. CrĂšches privĂ©es ? Attention, danger ! Un reportage de dans l’émission PiĂšces Ă  conviction » de FR3, Ă  regarder ici pour mieux comprendre les enjeux. Ci-dessous la prĂ©sentation de l’émission. À quelques jours des Ă©lections municipales, la crĂ©ation de nouvelles places de crĂšche est un enjeu Ă©lectoral de poids. C’est le mode de garde prĂ©fĂ©rĂ© des parents, qui promet de socialiser et d’épanouir les tout-petits sous l’Ɠil attentif de professionnels qualifiĂ©s et en toute sĂ©curitĂ©. En France, de plus en plus de municipalitĂ©s cĂšdent Ă  des entreprises privĂ©es la prise en charge de la petite enfance, dans le cadre d’une dĂ©lĂ©gation de service public. Aujourd’hui, la quasi-totalitĂ© des nouvelles places est créée dans le privĂ©. Usines Ă  bĂ©bĂ©s » ? L’enquĂȘte menĂ©e par PiĂšces Ă  conviction » au cƓur de certains Ă©tablissements privĂ©s rĂ©vĂšle une rĂ©alitĂ© prĂ©occupante. Des employĂ©es et responsables, des femmes pour la plupart, ont dĂ©cidĂ© de briser le silence et tĂ©moignent. Elles dĂ©noncent les problĂšmes de sous-effectif, comme cette employĂ©e seule avec 15 ou 20 enfants, quand elle est censĂ©e en gĂ©rer 8 au maximum. Certaines crĂšches se contentent de rĂ©pondre aux besoins essentiels des repas, des couches propres, des siestes. Dans ces conditions, la pĂ©dagogie, le dĂ©veloppement et la stabilitĂ© indispensables au bien-ĂȘtre des bĂ©bĂ©s peuvent-ils ĂȘtre assurĂ©s ? Éducatrices et puĂ©ricultrices dĂ©noncent une garde Ă  la chaĂźne dans des usines Ă  bĂ©bĂ©s », et certaines parlent mĂȘme de maltraitance institutionnelle ». Quel contrĂŽle ? Comment en est-on arrivĂ© lĂ  ? PiĂšces Ă  conviction » a enquĂȘtĂ© sur le versement des aides publiques qui pousse Ă  remplir les crĂšches. Pourquoi l’Etat encourage-t-il ce systĂšme, au dĂ©triment de la qualitĂ© d’accueil des enfants ? Les crĂšches privĂ©es sont-elles contrĂŽlĂ©es et par qui ? Existe-t-il un modĂšle de crĂšche idĂ©al ? Une enquĂȘte de 52 minutes rĂ©alisĂ©e par Julie Lotz, produite par Brainworks avec la participation de Navigation des articles
ï»żDela Caisse des Ă©coles Ă  la prĂ©fecture de Limoges, le cortĂšge du collectif « Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne » a fait savoir, ce mardi, son dĂ©saccord avec les projets du gouvernement.
En Centre-Val de Loire, le secteur de la petite enfance se mobilise contre la loi d’AccĂ©lĂ©ration de simplification de l’Action Publique d’Adrien Taquet. Elle prĂ©voit d’augmenter la capacitĂ© d’accueil des crĂšches et des assistantes maternelles sans d'autres moyens. "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne" a lancĂ© un nouvel appel national Ă  manifester contre la rĂ©forme Taquet, SecrĂ©taire d’Etat chargĂ© de la petite enfance et des familles. Une rĂ©forme dans les tuyaux depuis prĂšs d’un an et qui devrait s’appliquer petite Ă  petit courant 2021. Le personnel de la petite enfance manifeste ce matin Ă  Tours, Bourges et crĂšches, micro-crĂšches et assistantes maternelles sont en grĂšves pour montrer leur mĂ©contentement face Ă  cette rĂ©forme qui augmente la capacitĂ© d’accueil des structures sans octroyer de moyens gouvernement veut baisser la surface minimale d’accueil par enfant en ville en passant de 7m2 Ă  5,5 m2. Il souhaite aussi que la marge de 15% d’enfants accueillis en surnombre en crĂšche ne soit plus exceptionnelle mais appliquĂ©e tous les jours. La rĂ©forme touche aussi le personnel encadrant. Les assistantes maternelles pourraient accueillir jusqu’à 6 enfants alors qu’aujourd’hui les agrĂ©ments sont pour 3 ou 4 enfants. En collectivitĂ©, le ratio annuel d’encadrement sera de 60% d’auxiliaires de puĂ©riculture et 40% de CAP petite enfance ou d’apprentis. Alors qu’aujourd’hui, les apprentis ne sont pas comptĂ©s dans les encadrants et les professionnels sont pour moitiĂ© auxiliaires de puĂ©riculture et l’autre moitiĂ© diplĂŽmĂ©s d’un CAP petite enfance."La rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre"Pour Adeline Leguizet, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral CGT OrlĂ©ans MĂ©tropole, cette rĂ©forme c’est "la rentabilitĂ© au dĂ©triment du bien-ĂȘtre des enfants." Des crĂšches en surcapacitĂ©s, des professionnels surchargĂ©s, voilĂ  ce que le gouvernement a prĂ©vu pour le secteur de la petite les professionnels mobilisĂ©s, cette dĂ©gradation des conditions de travail aura un impact sur une on va permettre aux enfants qu’on accueille dans nos Ă©tablissement d’ĂȘtre bien, de bien se dĂ©velopper, d’avoir la sĂ©curitĂ© affective nĂ©cessaire, plus on en fera des adultes Ă©panouis et solides. Or lĂ  on est en train de dire, on peut faire du surnombre. Plus d’enfants pour le mĂȘme nombre de personnel. On diminue la qualitĂ© de travail, la qualitĂ© d’espace vital pour chaque enfant, donc la qualitĂ© d’épanouissement Vandermeersche, dĂ©lĂ©guĂ©e syndicale CFDT OrlĂ©ans MĂ©tropoleJeudi 4 fĂ©vrier, une nouvelle mobilisation nationale du secteur de la petite enfance contre cette rĂ©forme est prĂ©vue, cette fois-ci uniquement Ă  l’appel de la CGT.
Bonjour     Les crĂšches et les maternelles sont en danger Ă  cause d'un projet de dĂ©cret proposĂ© par Nadine Passer au contenu “PAS DE BÉBÉ À LA CONSIGNE” “PAS DE BÉBÉ À LA CONSIGNE” Jeudi 28 mars 2019, une soixantaine d’agents, salariĂ©s, de la petite enfance Ă©taient devant la PrĂ©fecture de ChambĂ©ry. Cet appel Ă©tait Ă  l’initiative du collectif “pas de bĂ©bĂ© Ă  la consigne” qui appelait Ă  un mouvement national. Le collectif CGT petite enfance a organisĂ© ce rassemblement afin de protester contre la rĂ©forme des modes d’accueil que le Gouvernement entend faire passer par voie d’ordonnances avant l’étĂ© 2019. Cette rĂ©forme va une fois de plus “plomber” la qualitĂ© d’accueil des enfants mais aussi les conditions de travail des Une grosse ambiance, des chants en piĂšce jointe les paroles, des pancartes pour montrer leur dĂ©termination et leur inquiĂ©tude Ces agents rĂ©unis provenaient de collectivitĂ©s diffĂ©rentes Mairie de ChambĂ©ry, CommunautĂ© de communes Coeur de Savoie, communautĂ© d’agglomĂ©ration ArlysĂšre, Belley, Annecy, St-Julien-en-Genevoy et d’ailleurs
. Les revendiquent POUR le bien-ĂȘtre et la sĂ©curitĂ© des enfants, POUR des Ă©tablissements d’accueil et un service public de qualitĂ© de la Petite Enfance, POUR l’accĂšs des Ă  la mĂ©decine du travail, POUR une politique ambitieuse de la Petite Enfance, vĂ©ritable investissement pour l’avenir de nos enfants et de notre sociĂ©tĂ© Prochaine Ă©tape, le 1er Mai et la grĂšve du 9 Mai. [googlepdf url=” width=”100%” height=”1200″] [googlepdf url=” width=”100%” height=”1200″] Partagez cet article, Choisissez votre Plateforme! Articles similaires Page load link

Dansun communiquĂ© adressĂ© aux candidats aux lĂ©gislatives Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne rappelait que le collectif poursuit son combat pour le dĂ©veloppement des modes d’accueil qui est indissolublement liĂ© Ă  l’amĂ©lioration de la qualitĂ© d’accueil des jeunes enfants. Or, la rĂ©cente rĂ©forme des modes d’accueil et les derniers textes Ă  venir vont

Les membres du collectif "Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne !" vont manifester ce mardi matin Ă  Montpellier, pour contester les rĂ©formes prĂ©vues dans les crĂšches et la petite enfance Par Jean-Marc Aubert PubliĂ© le 14 Jan 20 Ă  831 mis Ă  jour le 14 Jan 20 Ă  836 ILLUSTRATION/ Le collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! » dans la rue ce mardi Ă  Montpellier ©FacebookLes rĂ©formes annoncĂ©es par le gouvernement dans les crĂšches et la petite enfance ne font pas l’unanimitĂ©. Des associations se mobilisent, Ă  l’instar du collectif Pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne ! », qui vont manifester ce mardi Ă  11h, devant les grilles de la prĂ©fecture de l’HĂ©rault, dans l’ collectif qui n’est pas inconnu, puisque leurs adhĂ©rents ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dans la rue l’annĂ©e derniĂšre, lors d’actions des retraitesLe collectif qui se rassemblera avec le Collectif 34, l’UNSA, la CGT et la FNEJE rejoindra ensuite le cortĂšge des opposants au projet de la rĂ©forme des retraites, en fin de matinĂ©e, sur la place de la ComĂ©die. Les professionnels de la petite enfance, les parents, les futurs parents sont attendus nombreux Ă  11h devant la prĂ©fecture de l’HĂ©rault, Ă  Montpellier, T-shirt, pancartes, banderoles et instruments de musique sont les bienvenus », indique la responsable de ce article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre MĂ©tropolitain dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. VCiBCm.
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/488
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/36
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/66
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/348
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/96
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/441
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/132
  • kwz1r0vnp3.pages.dev/253
  • pas de bĂ©bĂ©s Ă  la consigne